Alors qu’il est sur le point de trouver un moyen de communiquer avec les dauphins, un biologiste ne soupçonne pas que sa découverte puisse être détournée à d’autres fins.
Pierre Lachenay semble heureux. Marié à Franca, épouse aussi aimante que séduisante, il est un écrivain très en vogue dont les ouvrages connaissent un vif succès. Mais lorsqu'il se rend à Lisbonne pour donner une conférence, il sympathise avec une hôtesse de l'air, Nicole. Séduit, il entame avec elle une liaison pleine de passion. Ne voulant plus la quitter, Pierre annonce brutalement à Franca qu'il souhaite divorcer. Bouleversée, l'épouse malmenée tente alors de sauver son couple à tout prix. Sélectionné à Cannes, «La Peau douce» demeure captivant par delà l'esthétique très Nouvelle vague. La photographie de Raoul Coutard - qui avait déjà travaillé avec Truffaut sur «Jules et Jim» - confère à ce film une justesse inoubliable.
Une femme et son amant sont assassinés. Le mari, Julien Vercel, suspect n°1 decide de s'enfuir et de se cacher quelque temps. Sa secrétaire, Barbara Becker, éprise de son patron, mène sa propre enquête.
Une famille d'aristocrates désargentés a transformé son château en hôtel. Malgré la bonne volonté de chacun, l’isolement du manoir ne s’avère guère propice aux affaires. Pour remédier à cela, la jolie Amélie séduit Charles, un jeune garagiste, qui accepte de "rabattre" vers leur établissement les clients de sa station-service en mettant leur voiture en panne. Un certain nombre de voyageurs se retrouvent ainsi immobilisés un soir d'orage. Parmi eux, un insolite trio : le baron César Anselme de Maricorne, flanqué de ses deux "secrétaires". Cet homme séduisant est en réalité un dangereux gangster qui vient de réussir un hold-up de 50 millions de francs...
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