Révolté par la tyrannie de Malichot, le chef de la truanderie, un jeune et habile voleur nommé Dominique brave son autorité. Il sauve sa vie en s’engageant, sous le nom de Cartouche, dans l’armée, où il se lie d’amitié avec La Taupe et La Douceur. Mais les aléas de la gloire militaire conviennent mal au trio qui déserte après s’être emparé de la solde du régiment. Revenu au repaire de Malichot en compagnie d’une charmante bohémienne appelée Vénus, Dominique distribue son butin aux truands qui aussitôt l’acceptent comme chef...
Le jeune Amerigo quitte sa campagne natale pour la ville, où il travaille chez son oncle. Tombé follement amoureux de la prostituée Bianca, il fait tout pour subvenir à ses besoins, allant même jusqu'à voler son oncle. Renvoyé par celui-ci, il devient videur dans la maison close dont Bianca est l'une des pensionnaires.
Un soir, une femme habitant une tour à Paris reçoit l'appel d'un homme qui menace de lui rendre visite. Un peu plus tard on sonne à sa porte. Terrorisée, elle fait un malaise et se tue en tombant par la fenêtre. Le commissaire Letellier est chargé de l'enquête. Mais le policier est davantage préoccupé par Marcucci, un truand qu'il cherche à arrêter depuis deux ans suite à un braquage. Letellier est rapidement contacté par un certain Minos : l'homme lui annonce être responsable de la mort de la victime de la tour, et vouloir supprimer les femmes à la vie sexuelle dépravée. L'un des meilleurs Belmondo des années 1970, avec Henri Verneuil à la caméra : de l'action, de l'humour, et une ambiance angoissante parfaitement distillée.
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